Les meilleures citations foot de footballeurs, d'entraîneurs ou d'illustres spectateurs !

Le football n'est pas un one-man-show, sinon j'aurais fait du tennis.

Il faut qu'on arrête de vendre de la peur.

Lorsque vous faites ce que vous aimez, vous ne voulez pas être de passage : vous n'avez pas sacrifié toute votre vie pour être un figurant.

Tout le monde, quel que soit son âge, garde une âme d'enfant, l'humain fonctionne ainsi.

Je pense à jouer : le terrain est vert partout et prendre du plaisir est le plus important pour moi.

Un groupe ne se forme que si tout le monde parle le même langage et si tout le monde est apte au jeu collectif. On n’obtient rien tout seul, ou alors que des résultats éphémères. Je me réfère souvent à ce que disait Michelange : "l'esprit guide la main"

Dieu lui a trop donné et lui n'en profite pas. Avec moi, je vous garantis qu'il s'entraînerait. Même si c'est le meilleur, un joueur qui ne travaille pas ne m'intéresse pas. Je veux des joueurs qui s'entraînent avec passion, discipline et motivation.

Aujourd'hui on juge le résultat avant la capacité de travail. Mais on n'a jamais construit un gratte-ciel en une journée. Une baraque oui.

Un pays où les clubs connaissent une farandole d'entraîneurs, ce ne sont pas des équipes mais des tours de Babel où s'agitent plusieurs mains différentes avec, parfois, des résultats diamétralement opposés.

Un joueur doit suivre son propre instinct, mais son instinct ne peut pas tenir lieu d’idéologie ou de tactique. Ce sont les hommes qui font la réussite d’un schéma, mais un schéma doit être conçu pour tous. Le football n’est pas un jeu que l’on peut jouer seulement à l’instinct, parce qu’on joue avec onze individus, c’est-à-dire avec onze instincts. On ne progresse pas sans imagination, mais on ne progresse pas non plus dans la confusion.

Avec ma maladie j'ai donné des avantages aux autres. Savez-vous quel joueur j'aurais été si je n'avais pas pris de drogue ?

Jouer à huis clos, c'est comme jouer dans un cimetière.

Quoi qu'il arrive et quel que soit l'entraîneur de l'Argentine, le maillot numéro 10 sera toujours à moi.

Je demanderais au Père Noël d'arrêter ma vie à 25 ans, pour que je puisse toujours jouer au ballon.

Un entraîneur peut voir ses joueurs avec son coeur, mais il les juge avec ses yeux.